dimanche 17 mai 2020

Journal du terrain : 17 mai 2020 | première visite post-confinement


 jeu : chercher le potager dans l'image suivante :-)


 consoude


À la base ce jeune saule était un bâton destiné à marqué où nous avions planté quelque chose d'autre. L'autre a disparu, le saule a décidé de vivre :D
 juste des fleurs

 premières poires

 le figuier
 le saule trogné à l'automne dernier
le même
 le pacanier se cache au milieux des ronces
 la mare


 un pommier (Cardinal rouge) qui rentre dans sa 2e saison
 la 2e "mare" (ou en tout cas l'amorce de celle-ci).
 la cabane plantée, encore invisible à vos yeux incrédules.
 le pêcher qu'on aurait finalement du tailler au moment de le planter.

 quelques scions de fruitiers qui ont survécu aux chevreuils


 prairie


 prairie en cours d'enfrichement (vue vers le nord)
 stellaires



 le feijoa n'a que moyennement apprécié la rencontre avec les chevreuils.
Flûte : l'épicéa que nous ont refourgué les voisins et dont je ne voulais pas et que j'espérais qu'il allait crevé à l'air d'avoir pris ... il faudra que je pense à l'anneler.
 à gauche du gros piquet, vous pouvez admiré un reste de néflier du Japon : à priori les chevreuils aiment bien ça. je vous dis ça au cas où vous ne sauriez pas quoi donner à manger à vos chevreuils.




jeune frêne




 jeune figuier
 azalée
 myrtillier


 azalée

les planches de culture avant désherbage : 
groseillers et consoude
 guimauve et floraison de blette
 framboisiers
 ancienne planche de patate qui aurait du devenir autre chose et qui est parti pour un 2e round.
 rien et bardane (au fond)
 oignons, œillets couronnés, blettes en fleurs
 Nielle des blés



 restes de tiges de chou perpétuel ... incassable, incassable ! oups ! cassé !
 je ne sais pas de quoi c'est le reste mais c'est une drôle de structure


 fleurs de blettes


 pommier grignotté par les chevreuils
 le même à l'abri des ajoncs
 fraises des bois !!!
 les malfrats ont laissé des empreintes de leur passage !
 fin de journée : les allées entre les planches de culture étaient trop étroites pour les faucher, l'herbe trop haute pour la tondeuse : du coup on s'est contenté d’aplatir l'herbe en la piétinant.

 camomilles sauvage dont j'avais récupéré les graines à Salamanque

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