Superbe journée pour terminer ces vacances en beauté.
La matinée aura été dédiée à terminer de creuser les derniers des 25 trous nécessaires pour accueillir les fruitiers que nous avons commandé au Conservatoire Végétal Régional d'Aquitaine, (et je garde ici la trace du nom de l'association "Sagartzea" au pays basque, qui a également une activité de verger à pommes et qui se contacte apparemment via la coopérative Eztigar)
Vue vers le nord du terrain
Vue depuis le nord vers le sud et le roncier
Vue du roncier depuis le nord.
Les coupes du saule et du châtaigner ayant généré un peu de bois, on a décidé de dégager un espace dédié à son stockage.
Petite pause de "meidia" (midi) : je vous l'avais bien dit que c'était des vacances ;-p
Nos trous à fruitiers semblent faire office de piège à salamandre. Heureusement qu'Albe veille et à découvert cette pauvre bête lors d'une tournée d'inspection. On a donc sauvé celle-ci et on lui a offert un séjour balnéo dans notre charmante mare.
Petit selfi pour commémorer cette belle rencontre.
Première récolte de nèfles :-) Albe les a planté dans nos futures haies.
L'espace de stockage du bois prend forme. Ici une sorte de palissade ouverte pour servir de "support" au tas de bois.
Et l'arrivée du tas de bois.
Piège à salamandre rebouché à l'herbe pour le rendre inactif. (Merci a mon papa à qui j'ai dit "tiens, tu pourrais remplir les trous que tu viens de faire stp ?").
Après avoir parlé avec eux de tondeuse à gazon sans moteur, mes parents m'en ont offert une (merci !). Bon c'est a priori plutôt un modèle conçu pour le petit gazon de pépère, et il souffre un peu sur notre terrain tout cabossé, plein de bois, de pierres et d'herbes hautes, maaaaaiiis ... il fait quand même à peu près le job, même s'il galère (et c'est pas peu de le dire : il a déjà perdu un écrou et deux boulons).
Par contre, quand on pousse la bête, la lame en tournant fait un bruit - pas trop dérangeant mais pas anodin non plus - qui a très fortement excité Lasai qui s'est mis à aboyer sur la pauvre tondeuse et à la poursuivre pour lui mordre les roues.
Il faut avoué qu'après une petite séance de tondeuse, on distingue à nouveau les planches de cultures, ce qui redonne une certaine allure au terrain :-D
Ah ! Et moi j'ai fini de planter les poireaux offerts par Béré' (décidément j'ai été bien gâté ces jours ci). J'ai surtout galéré pour leur trouver de la place car la plupart de mes planches sont soit déjà occupées, soit pas encore assez "mûres" pour accueillir des cultures : il faudrait que les ptites bébêtes aient plus de temps pour travailler la terre et ainsi l'ameublir suffisamment pour envisager la plantation.
Journal de bord d'un "wannabe" maraîcher : recherche d'informations, formation, expérimentation, terrain : démarche d'un grand débutant.
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